Le Discop se déroule du 30 mai au 1er juin 2017, un but de stimuler la création audiovisuelle francophone. Ce que je retiens de ces deux jours passés au Sofitel Hôtel Ivoire Abidjan afin de participer au Discop Abidjan, c’est que les contenus vidéo c’est l’avenir du contenu web.
Six « master-classes » pour éclairer sur l’industrie de la production de contenus vidéo et audio avec des intervenants de choix, c’est ce que le Discop offre à ses participants, mais c’est surtout la compréhension d’un secteur peu exploité en Afrique francophone. Comment est-ce que les choses se passent afin de créer du contenu audiovisuel ? Comment intéresser les chaînes de télévision ou les grands groupes ? Sur quelles thématiques baser son contenu ? Il faut y être pour avoir ses réponses.
Mais déjà, il faut savoir que pour faire valoir son contenu, il faut déjà qu’il soit de bonne qualité. C’est ce qui intéresse d’un premier abord. Il faut ensuite qu’il soit innovant, qu’il apporte une dose de fraîcheur, mais surtout d’expertise. Que ce soit dans le domaine du divertissement ou de contenus plus sérieux, il faut apporter une expertise qui sera supportée par la qualité.
L’Afrique francophone avance à son rythme dans ce domaine de l’audiovisuelle. Il est pourtant temps de se réveiller et de prendre à bras le corps ce formidable potentiel d’idées qui foisonnent et qui n’attendent qu’à être concrétisées.
Le Discop ouvre les esprits, ouvre des portes aussi à ceux qui savent saisir les opportunités.
À nous, d’ensuite faire bonne usage de ce qu’on y a appris.