Ce matin, après une soirée tardive en ville, je devais me lever de bonne heure (pour moi dans ce genre de cas c’est 9 h) pour me rendre à la galerie d’art le Basquiat afin d’assister à 60 minutes graphisme. 60 minutes graphismes est une discussion portant sur le thème PHOTOGRAPHIE : quelle différence entre l’amateur et le professionnel ? Avec comme intervenant :
BARNUS GBEKIDE
PAUL SIKA
PHILIPPE LORET
Je suis arrivée pendant l’intervention de Barnus Gbekide qui a des idées concrètes sur la photographie et sur ses contours. Je ne citerai pas ses mots (je n’étais pas venue pour ça), mais ce que je peux retenir de ses dires c’est qu’amateur ou professionnel nous (photographe) passons tous par une période d’apprentissage qu’elle soit autodidacte ou cadrée par des professionnels. Nous nous devons également d’avoir une maitrise de notre outil de travail pour un résultat on ne peut plus potable.
Ce que j’ai appris de Philippe Loret c’est que la photographie peut s’imposer à nous, et que nous devons faire avec elle un matin, aimer ce talent (nouveau ou inné), ce don qui nous vient de plus haut et le savourer.
Enfin de Paul Sika, j’ai retenu qu’en photographie, nous pouvons rencontrer des moments difficiles dus à un manque d’inspiration, à un moment de doute ou bien à des erreurs techniques, mais que lorsque nous sommes faits pour la photographie ou que la photographie est faite pour nous, nous nous relevons de ses erreurs plus forts, plus aguérris, plus incroyables aussi et nous en rions après.
Bref, que ce soit l’amateurisme photographique ou le professionnalisme, il faut cette flamme, ce côté extra ordinaire qui feront de nos photos des souvenirs uniques portant nos signatures propres et qui nous rendront un jour, pourquoi pas, immortel.