Goumin, Goubestine, autant d’expression pour parler du chagrin d’amour.
Le chagrin d’amour… Cette impression de perdre pieds lorsque l’être aimé ne partage pas les mêmes sentiments que nous, ou lorsqu’on est trahi ou plus abandonné.
Chacun de nous a sa manière de vivre ce moment de solitude. Où le cœur vole en mille éclats tous plus tranchants les uns que les autres . Où le simple fait de penser donne un mal de chien. Où on se répète tel un leitmotiv de respirer pour que ça passe avant de crier de douleur où d’éclater en sanglot incontrôlable. Ça fait mal, terriblement mal, on aura beau se dire que ça va aller, qu’on est fort que c’est un mauvais moment à passer, ça n’empêche pas que ça fait mal et qu’on ne peut rien faire pour que ça passe. On ne peut que subir en se disant que le temps fera le reste, qu’une autre personne prendra la place, que l’être humain guérit par l’oubli, en fait on se balance beaucoup de fadaises pour encaisser le coup.
Normalement ça passe, ça passe toujours en fait, mais ce qui fait le plus peur c’est qu’on ne sait pas quand !
quand est-ce que la douleur cessera ?
A reblogué ceci sur A (un en anglais) kaléidoscope de moiet a ajouté:
Je reviens sur mon premier article en tant que blogueuse active. Le début de l’aventure quoi, que de chemin parcouru depuis ! Mais, c’est de là que tout est parti alors à vous mes lecteurs et nouveaux lecteurs avec toute la gratitude que je peux exprimer, je vous repartage cet article.
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